Mère et fils, un jeu très dangereux, où l'on arrive à la limite du pensable, le fils qui veut qu'elle la veuille, fatigué des branlettes décide de la baiser dans toutes les positions, elle inquiète en même temps se donne à cet étrange désir d'être possédé. Après avoir consolé maman de ce qui s'était passé, je suis allé me coucher et je l'ai laissée dans sa chambre. J'ai commencé à lire un magazine, mais ma tête ne correspondait pas. Je ne pensais qu'à imiter Marcel. J'avais envie d'entrer dans le lit conjugal de ma mère et de la baiser, dans toutes les positions ; Je voulais évacuer tous mes instincts refoulés. Je voulais surtout faire l'amour. J'en avais assez des scies.
Je me suis retourné quelques heures de plus dans mon lit, bien sûr, c'était une décision forte, et ce, en écoutant les récits d’un ami quand je baise ma mere en faisant un saut dans le noir. Mais je n'en pouvais plus, je me suis déshabillée complètement nue … mon membre était en érection et gonflé de sperme, mes testicules étaient douloureux et gonflés, tendus par des spasmes. Je ne pouvais plus attendre. Je me suis levé et je suis allé dans la chambre de ma mère. Elle lisait un livre, enfila son pyjama et s'allongea sur le côté. Dès que je suis entré, il m'a dit « qu'est-ce que tu fais ? S'il te plaît, ne sois pas stupide, je suis ta mère, j'aime ton père et tu es mon fils ». Mais je ne l'écoutais plus. Je l'ai embrassée profondément sur la bouche, elle ne s'est pas retirée, au contraire, il m'a semblé que la première langue hésitante commençait à chercher la mienne, puis je me suis rendu compte que le fossé avait sauté, j'ai enlevé le morceau supérieur de son pyjama et j'ai pleinement profité de ses splendides et énormes seins aux mamelons turgescents et pointus. Elle aussi s'est dissoute dans une forte étreinte. J'ai également enlevé son bas et sa culotte, je me suis jeté tête baissée dans sa chatte chaude et j'ai commencé à la lécher avec enthousiasme, en la brossant, puis elle aussi a explosé : « ahh, chérie, l'amour, quelle langue, s'il te plait encore » et puis on a fait l'amour longtemps. Je l'ai pénétrée, d'abord doucement puis j'ai commencé à la plonger de plus en plus fort jusqu'à ce que, tous les deux en hurlant, je remplisse son vagin de mon sperme chaud.