Mon épouse Estella et moi avions besoins de pimenter nos parties de bacchanale. Nous cherchions un moyen pour relancer notre couple et donner de la saveur à notre quotidien. Je voulais réaliser mes fantasmes et ma femme voulait en faire de même. Nous avions essayé de le faire à travers le sexe webcam en nous exhibant en couple sur le site webcam-sex.fr dont nous avait parlé une amie. Ça a été une expérience très sympa et très excitante mais au bout de quelques mois nous avons eu envie de plus, de réel.
Nous décidions de se rendre dans un des clubs libertins les plus branchés de la ville de Nice. Il y faisait sombre et nous avions du mal à distinguer les constituants de la salle qui contenait des canapés, des divans et des matelas posés à même le sol.
Nous nous arrêtions dans l’encoignure et nous regardions les yeux hagards autours de nous. Un couple avoisinant la quarantaine s’approchait de nous. L’homme prenait la main de ma femme qui baisait tendrement. Les yeux d’Estella s’illuminaient devant de telles attentions pleines de sous-entendus coquins.
Elle sombrait sous le charme de ce gaillard à la forme d’athlète. Il l’entrainait sur le matelas et dans leurs bandantes caresses, le veinard la mettait en levrette. Mon épouse avait les nichons écrasés contre le matelas et le cul bien en l’air.
Le mec ne se faisait pas prier et sortait sa grosse queue de sa braguette puis il l’agitait. D’une main, il écartait les fesses de ma femme puis de l’autre il enfonçait sèchement sa bite érigée dans son cul.
La jeune coquine poussait un grand cri de douleur puis commençait à gémir intensément lorsqu’il commençait ses puissants vas et viens. Le vicelard accompagnait ses assauts de claques.
J’avais mon gland dans le gosier de la salope qui me sucait avidement. Elle tripotait mes bourses alors que je prenais plaisir à éjaculer 5 bons jets de sperme dans sa bouche. Elle me nettoyait la bite de sensuels coups de langue.
Ensuite, je la relevais, la plaquait contre le mur et je la prenais par derrière. La jeune coquine se cambrait légèrement et titillait son clito. Je l’embrochais puis je commençais à la baiser en douceur en lui arrachant des gémissements aigus.
J’appuyais constamment ses nichons et je pinçais fortement sans tétons dressés pour plus l’exciter.